Je préfère le dissensus dur au caramel mou

Je préfère le dissensus dur au caramel mou
Medusa – Il Caravaggio

Parfois on aimerait, face à la violence du monde, qu’un garçon vous prenne dans ses bras et murmure : « Ça ira, je suis là, on connaîtra des jours meilleurs… »

mercredi 22 octobre 2014

Un air d'Italie

Finalement, cet été je n'ai pas touché la bétonnière, et je n'ai pratiquement pas sorti la moto, tant mon genou était mal en point. J'avais même dit à L. qu'il me semblait être dans la peau de Guillaume Balz, qui finit par perdre sa jambe dans Les pierres sauvages de Fernand Pouillon.


Par bonheur il y a eu ces quelques jours à Florence qui ont été un enchantement. J'ai pu oublier mes douleurs, sublimées par le plaisir des yeux.

Veduta di Firenze

On aurait du mal à jouer sur le piano de l'hôtel la Serenata medioevale de Giuseppe Silvestri, écrite pour mandoline, violon et accordéon...

Elle est interprétée ici par Tito Schipa, le charme d'un temps passé...
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3 commentaires:

Silvano a dit…

La sérénade est jouable au piano grâce aux harmonies indiquées sur la partition. Je veux bien m'y coller, si vous assurez la partie vocale.

Celeos a dit…

Il faudra attendre que le chat que j'ai dans la gorge veuille bien aller voir ailleurs, Silvano ! J'ai besoin d'un antitussif... Je vais essayer le Chianti !

Silvano a dit…

Oui : je prescris un Montepulciano.