Je préfère le dissensus dur au caramel mou

Je préfère le dissensus dur au caramel mou
Medusa – Il Caravaggio

Parfois on aimerait, face à la violence du monde, qu’un garçon vous prenne dans ses bras et murmure : « Ça ira, je suis là, on connaîtra des jours meilleurs… »

lundi 15 décembre 2014

Entre deux eaux

Pour bien commencer la semaine où l'on se rapproche du solstice d'hiver, fêté par les chrétiens avec Noël, les juifs avec Hanouka, les musulmans par l'Aïd al Mouloud (fête de la naissance d'Ishoua, alias Jésus), les païens avec le sapin de Noël et ses bougies, certains jeunes de banlieue par des feux de joie de voitures, les pompiers avec leurs lances à incendie, les commerçants de toutes confessions par l'explosion de leur chiffre d'affaire, voici un peu de soleil musical du regretté Paco de Lucía (à prononcer à la castillane, et non à l'italienne, non mais !).
(Très longue phrase, mais pas autant que certains sociologues !)

Entre deux eaux, c'était aussi le nom d'un joli blog, non, je rectifie, d'un très beau blog qui privilégie le texte, fait par le bel Olivier, qui apparemment a cessé de bloguer. C'est dommage. J'espère qu'il est heureux avec son ami d'amour.
Je ne peux m'empêcher d'en donner un passage d'une grande sensualité :
" Je goûte son corps blanc picard avec délectation, je m'abandonne à lui, comme lui à moi, sans pression. Nous nous touchons, suscitons et éprouvons d'indécelables vigueurs, découvrons les parcelles sensibles de nos peaux ".
Sa dernière page est datée d'il y a un an, c'était hier, jour pour jour. Voici le lien : clic

Paco de Lucía Entre dos aguas - 1976


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