Je préfère le dissensus dur au caramel mou

Je préfère le dissensus dur au caramel mou
Medusa – Il Caravaggio

Parfois on aimerait, face à la violence du monde, qu’un garçon vous prenne dans ses bras et murmure : « Ça ira, je suis là, on connaîtra des jours meilleurs… »

vendredi 20 février 2015

Mediterranean sundance

Donner un cadre à ses intérêts
(je me demande si ce n'est pas une banque qui avait inventé ce slogan affligeant...)

Volé à gejaj rakontoj en esperanto


2 commentaires:

joseph a dit…

Bien qu'ancien banquier je ne peux dire si ma banque avait eu un jour ce slogan même si elle prônait l'essor de jeunes cadres dynamiques autant qu'ambitieux ; balayant tout et surtout ceux qui avaient lors de leur longue carrière créé une culture d'entreprise et veillé à léguer leurs acquis à la jeune génération? la culture y était présente via un cercle d'art et d'étude éditant une revue nommée " La fenêtre ouverte" . Et un maitre slogan : La connaissance est un capital dont les intérêts s'appellent culture .

Celeos a dit…

La communication des banques a parfois un vieux fond de cynisme. Le cas d'école était "Votre argent m'intéresse", étalé trop crûment par je ne sais plus quelle banque. Mais en tout cas, c'était sincère !