Je préfère le dissensus dur au caramel mou

Je préfère le dissensus dur au caramel mou
Medusa – Il Caravaggio

Parfois on aimerait, face à la violence du monde, qu’un garçon vous prenne dans ses bras et murmure : « Ça ira, je suis là, on connaîtra des jours meilleurs… »

mercredi 11 mars 2015

Un rien de classe

« La légère froissure de votre col de chemise, celui relevé de votre veste n'ôtent rien à votre charme, lequel me fait fondre d'émoi. »
Eh, oui ! C'est ainsi que j'aime parler aux garçons, qui, je l'ai constaté, n'en attendent pas moins !


Sam Harwood

4 commentaires:

joseph a dit…

venant de vous, on ne peut s'attendre à moins! hélas moi je n'utilise souvent que le regard et ne récolte que moquerie pour ne pas dire plus!

Celeos a dit…

Ah, Joseph ! Il faut aller au-delà du regard, et pourquoi pas ? friser quand il le faut la flatterie de ce qui doit l'être, ignorer ce qui doit être négligé...

Silvano a dit…

Je serai plus terre-à-terre : vive la chemise (même à col froissé), à bas les ticheurtes informes et uniformes.

Celeos a dit…

Oui, la chemise est une des plus belles inventions pour l'homme, et lorsqu'elle est portée sans cravate, un col légèrement déboutonné laissant apparaître un triangle de peau participe des petits bonheurs que j'aime chez les garçons.