Je préfère le dissensus dur au caramel mou

Je préfère le dissensus dur au caramel mou
Medusa – Il Caravaggio

Parfois on aimerait, face à la violence du monde, qu’un garçon vous prenne dans ses bras et murmure : « Ça ira, je suis là, on connaîtra des jours meilleurs… »

lundi 26 octobre 2015

Accablement


6 commentaires:

The Narrow Corner a dit…

Un petit côté Marat (vautré sur son matelas après le coup fatal)...

Celeos a dit…

Oui, c'est le dernier de Corday ! Saura-t-on jamais tout ce que Marat donna ?

palomar a dit…

Etre le dernier de Corday peut être dangereux car si le câble ment et cède, il faut retenir Marat à bout de drap, comme l'illustre ce post.
(c'est archi-nul, je sais; ne me cherchez pas, je suis déjà parti).

Silvano a dit…

J'aime tout dans cette image : le bois-de-lit, le branchage d'automne sur le vieux mur le drap ourlé à la main, et l'antique poste de radio.
Voilà, je pense n'avoir rien oublié.

Celeos a dit…

Bel effort, Palomar, j'apprécie, mais revenez quand vous voulez !
Moi également, Silvano, c'est la perspective du bois de lit qui a retenu mon attention. Rien d'autre.

joseph a dit…

il était dans de beaux draps et à les traîner sur le sol il se retrouvera dans de sales draps , français quand tu nous tiens!