Je préfère le dissensus dur au caramel mou

Je préfère le dissensus dur au caramel mou
Medusa – Il Caravaggio

Parfois on aimerait, face à la violence du monde, qu’un garçon vous prenne dans ses bras et murmure : « Ça ira, je suis là, on connaîtra des jours meilleurs… »

samedi 2 avril 2016

Michel Foucault: L'utopie du corps

En ces journées consacrées à une réflexion sur le SIDA, au don au Sidaction, le rappel aux lumières de Michel Foucault me paraissait indispensable : le corps est-il un lieu ou un non-lieu, une utopie ?



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3 commentaires:

FrançoisB92 a dit…

Ce qui me plaît chez Foucault outre sa pensée fulgurante et son savoir immense, c'est cette voix, cette tonalité qui rend la pensée si vivante qui semble se construire, alors qu'elle est déjà là. Cela me fait penser à Barthes, à Deleuze, et au pouvoir de leur voix qui rend leur pensée encore plus puissante.
Merci pour ce moment de savoir!

Celeos a dit…

Foucault et les autres nous manquent bien sûr. Il faut être attentif à un jeune sociologue: Geoffroy de Lagasnerie dont les analyses prolongent celles de Foucault et de Bourdieu.

FrançoisB92 a dit…

Je suis d'accord avec vous, ils nous manquent!
J'ai croisé le nom de de Lagasnerie, à diverses reprises, mais je n'ai pas encore lu un de ses textes en sociologie. Il est donc intégré dans un de mes agendas de lecture!
Merci beaucoup,