Je préfère le dissensus dur au caramel mou

Je préfère le dissensus dur au caramel mou
Medusa – Il Caravaggio

Parfois on aimerait, face à la violence du monde, qu’un garçon vous prenne dans ses bras et murmure : « Ça ira, je suis là, on connaîtra des jours meilleurs… »

dimanche 15 mai 2016

Devisons sur le théorbe

Robert de Visée : Passez un excellent dimanche avec ce Prélude en quatre versions !


4 commentaires:

Silvano a dit…

Plénitude.
J'aime.

yves a dit…

c'est le luth final...
personnellement, je préfère la viole. une douce façon de s'envoyer en l'air... en si bémol majeur...
au fond, tout ça, c'est une façon de portée...

Celeos a dit…

Et zénitude, dans ce monde agité !

Viole et luth sont à déguster en des moments différents ; pour accorder, mieux vaut la viole, en effet. Le luth, c'est quatre heures pour accorder et une heure à jouer faux !

joseph a dit…

le luth, la lutte perpétuelle pour la justesse, mais la viole à toute gambe alors comme un mouvement perpétuel