Je préfère le dissensus dur au caramel mou

Je préfère le dissensus dur au caramel mou
Medusa – Il Caravaggio

Parfois on aimerait, face à la violence du monde, qu’un garçon vous prenne dans ses bras et murmure : « Ça ira, je suis là, on connaîtra des jours meilleurs… »

mercredi 18 octobre 2017

De la peau et des os

Ahmad Joudeh  danse sur le toit de sa maison à Damas. Danser contre la barbarie est un beau défi.  Une imploration dont le ciel, assourdi par les bombes et les pleurs a parfois la capacité de percevoir la grâce.


4 commentaires:

Anonyme a dit…

Je l'ai vu, à la télévision, dansant dans une ville, en ruine, dans un silence total, avec comme seule musique le souffle du vent.
Il m'est apparu indestructible...
Marie

Celeos a dit…

Oui, Marie, c'était à Palmyre, comme une espèce de défi.

arthur a dit…

Vu sur le quotidien ,il y a quelques semaines. L'explication de son tatouage sur la nuque "Dance or die" en arabe, fait tout juste très très froid dans le dos. Chapeau bas, l'artiste!

Celeos a dit…

C'est un bel engagement, arthur, une vraie nature d'artiste.